Quelles sont les conséquences de ce phénomène appelé «quantified self» sur le plan de la protection des données ? Les informations rassemblées au travers de ces outils, sont-elles à considérer comme des données de santé ? Faut-il les protéger ? Quelle régulation ou législation faudrait-il envisager ? 

Dans l’article «Le corps connecté : tant qu’on a la santé» publié dans l’édition juin 2015 du magazine Legimag - le magazine trimestriel du droit au Luxembourg - on tente d’identifier et trouver réponse aux multiples questions qui se posent par rapport aux aspects de protection des données liés à l’utilisation de ces nouvelles technologies. Notre juriste et chargé de protection Violaine Langlet a été sollicitée à donner sa vision sur les différents aspects de protection de la vie privée qu’englobe l’utilisation de ces outils connectés. Consultez ici l’article complet.