La ministre reconnaît la complexité du processus de digitalisation et souligne que le DSP de première génération nécessite des évolutions. Elle propose une approche pragmatique, affirmant qu'il faut transformer le DSP en une deuxième génération plus conviviale, avec un accès facilité et des données structurées.

Elle souligne également qu’il faut tout un système pour structurer le parcours du patient et qui permette l’accès en temps réel à tous les acteurs encadrant le patient. Elle insiste aussi sur la nécessité de tirer profit de la digitalisation pour améliorer le parcours du patient, renforcer sa responsabilité et favoriser le concept de patient-partenaire. Et, pour finaliser, elle exprime son engagement à prendre le temps nécessaire pour clarifier la vision et les étapes à suivre dans ce processus.

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